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Le programme du Festival

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26 juillet : Eglise de Loctudy 20h00

  • Programme :
  •  Les Quatre Saisons d’Antonio Vivaldi et d’Astor Piazzolla
  • Violon solo : Hélène Collerette / Ensemble Phileas

Antonio Vivaldi était un virtuose du violon. Ses Quatre Saisons stupéfièrent ses contemporains par les effets inouïs qu’il tira de l’instrument. Deux siècles plus tard, l’argentin Astor Piazzolla s’empare de la fascination vivaldienne et y ajoute les rythmes de son nuevo tango. Chez l’un comme chez l’autre, l’hiver se pare de couleurs frissonnantes et l’été d’une langueur torride.

Antonio Vivaldi (1678 – 1741)
Les Quatre saisons (1725)

Astor Piazzolla (1921-1992)
Las Cuatro Estaciones Porteñas ou Estaciones Porteñas (1965-1970)

Baroque italien et passion argentine, c’est le délicieux mélange que nous propose l’Ensemble Phileas avec ce dialogue entre les célébrissimes Quatre Saisons de Vivaldi et les Quatre Saisons de Buenos Aires de Piazzolla ! Composées à la fin des années 1960, les Quatre Saisons de Buenos Aires de Piazzolla font écho à l’œuvre de Vivaldi composée 250 ans plus tôt. Au pastoral des saisons du maître vénitien, le roi du tango oppose l’urbain et la vie de la célèbre capitale argentine… Lecture croisée avec le violon tendre et virtuose d’Héléne Collerette, accompagné par les musiciens de l’ensemble Phileas. 

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27 juillet : Manoir de Kerazan – Concert dans la cour du manoir à 20h

  • Schubert : Quatuor n°12 « Quartettsatz » D 703
  • Beethoven : Quatuor n°6 op 18
  • Mendelssohn : Quatuor op 13

Ensemble Phileas

3 chefs-d’oeuvre du romantisme pour quatuor à cordes.

Composé de deux violons, un alto et un violoncelle, le quatuor à cordes est un petit monde en sois. Enfant du classicisme, archetype de l’écriture à quatre voix il a traversé les siècles et les frontières. Une soirée consacrée à trois compositeurs romantiques qui ont donné le meilleur d’eux même à travers cette formation.
Trois oeuvres pour quatuor à cordes, d’une inventivité remarquable et d’un lyrisme subjuguant, ont été inscrits dans l’histoire, portant à la fois l’héritage de l’époque classique et la promesse de l’avenir. Entre temps, ces œuvres et leurs compositeurs ont vu passer le courant de la vie — la désillusion, la maladie, mais aussi l’épanouissement d’une pensée magistrale.
Une soirée à l’écoute de ces quatuors, c’est la communion avec une âme secrète, la découverte de couleurs inexprimables, l’admiration d’un discours magistral dont les idées ne cessent d’évoluer et d’inspirer : un voyage sonore qui marque.

Eglise IT
Eglise Ile Tudy

28 juillet : Eglise de l’Ile Tudy  à 20h00

  • Mozart : Quintettes à cordes K 515 et 516
  • Ensemble Phileas

Ajoutez un alto au quatuor à cordes et vous obtenez un quintette à cordes. Véritable parallèle du couple éternel des deux violons , les deux altos apportent leur tonalité chaude et grave aux confidences du compositeur. Avec sa prédilection pour l’alto Mozart a toujours eu une relation privilégiée avec cette formation, peut-être entre autres parce qu’elle contient deux fois son instrument fétiche.
Si on voit souvent dans ses quintettes le nec plus ultra de l’œuvre de musique de chambre de Mozart, c’est que celui-ci semble avoir trouvé dans cette formation une sorte d’idéal lui permettant d’exprimer la quintessence de son génie.
Composés en 1787, ces deux quintettes sont aussi sublimes qu’ils sont différents. L’un (K 515 en ut majeur) plutôt d’une beauté sereine, fier, optimiste et chargé de lumière, quand l’autre (K 516 en sol mineur) est plus tourné vers l’ombre, la douleur, parfois le désespoir laissant tout de même entrevoir une lumière salvatrice.
Deux immenses chefs-d’œuvre qui dominent de très haut la production instrumentale . Œuvres de nécessité intérieure s’il en est, qui nous donnent à entendre quelques-unes des confidences les plus personnelles, les plus profondes, les plus déchirantes même de Mozart, et c’est bien ce supplément d’âme qui en fait des œuvres d’exception.

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